Je suis vraiment vraiment très contente de vous présenter cette revue aujourd’hui. Je souhaite d’abord remercier l’association qui a su me faire confiance afin d’étendre l’influence de la revue. Je suis extrêmement heureuse car c’est mon tout premier service presse papier, voilà. Je trouve que c’est génial. Et en plus c’est de la BD, que demander de plus ? Bref, assez parlé de moi, passons maintenant à L’oreille qui voit.
De par son nom décalé, elle intrigue déjà. L’oreille qui voit est une association cherchant à promouvoir les expressions visuelles. Elle est basée à Figeac, dans le Lot (à côté de chez mes parents <3). Elle propose entre autres des expositions et des concerts illustrés. La revue en elle-même est consacrée à la bande dessinée et se centre sur des auteurs de la région Occitanie. Pour l’instant, c’est un trimestriel. Retrouvez leur site internet ici !
« Ça vaut le coup d’œil et le bouche à oreille ! »
Mais alors moi, qu’est-ce que j’en pense ?
Eh bien je suis totalement séduite. C’est une revue qui mêle one shots, séries, petites planches humoristiques et interviews d’auteurs. Et en prime, un petit jeu à la fin. Un bon mélange pour une bonne revue BD. J’ai lu le numéro 5 et comme j’étais un peu déçue de ne pas avoir le début des séries, je me suis mis en tête d’acheter tous les numéros. Manque de bol, le 1 et le 3 sont en rupture ! Mais en aucun cas ça va m’empêcher d’apprécier la revue. Je trouve que la mise en page est originale. L’oreille qui voit présente le travail d’un grand panel d’auteurs de tous genres et styles différents. Ce qui fait sa force, c’est le contenu éclectique qu’elle propose. Pour chaque artiste, un lien de blog ou de réseau sociaux est partagé et je trouve ça génial. Si on aime ce qu’ils font, on peut les retrouver facilement sur internet grâce à cette petite attention. C’est très pratique pour les lecteurs et bénéfique pour les auteurs ! Et en plus, les couvertures sont trop chouettes non ?
La revue est en noir et blanc. Je trouve ça un peu dommage car on ne peut pas apprécier les couleurs des planches et je pense que certaines voire toutes sont à la base colorisées (en fait non, je me suis trompée, elles sont majoritairement en noir et blanc, oups). C’est le seul petit point noir que j’y trouve.
C’est une superbe découverte que je ne peux que conseiller aux personnes avides de revues de ce genre et de BD et auteurs peu connus. En tout cas, moi, je pense que je vais activement suivre la sortie des numéros et me procurer ceux qui me manquent dès cette semaine (sauf le 1 et le 3 du coup, snif).
Petite liste des auteurs que j’ai beaucoup aimé dans le numéro 5 :
– Marion Besançon
– Gabriel Bargiel
– Bastiaan
– Marion B.
Où acheter les numéros de L’oreille qui voit ?
Pour 9€50 (peu cher pour tout le travail fourni), vous pouvez les acheter en passant par leur site ou directement sur BDfugue. Mais comme je suis trop gentille (lol), je vous donne les liens pour chaque numéro :
Encore un grand merci à l’association de m’avoir fait confiance. Très belle découverte 🙂
Takoubook 